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Fortiorem Orca dessiné par son propriétaire

Orca Fortiorem est un homme-poisson de la race des grands requins blanc, à cause d'une anomalie génétique Orca et noir, et a des taches de naissance blanche au niveau des yeux et du torse, c'est la raison pour laquelle à sa naissance même ses parents ont cru qu'il était un homme poisson orque et lui ont attribué ce nom.

Histoire[]

Une enfance difficile[]

Orca est né comme de nombreux individus de son espèce sur l'ile des hommes poissons. Son père était un triton et sa mère une femme-poisson. Malheureusement le jour de sa naissance le destin n'était pas de son coté.. La maison dans laquelle il vivait s'écroula alors que son père lui faisait découvrir le paysage paradisiaque de l'ile depuis son jardin. Son père le déposa par terre et se précipita à l'intérieur de la bicoque pour essayer de sauver sa femme qui gisait sur le sol écrasée par de nombreux débris. Son action était vaine, celle-ci avait déjà trépassée. Mais le destin ne s'arrêta pas là et frappa de nouveau à peine 10 minute après son premier coup de tonerre.. Une poutre en branle, à savoir la dernière de la batisse se déloga de son emplacement et vint s'abattre sur la nuque de celui-ci la brisant par la même occasion.

Orca fut alors confié à un moine Homme poisson de la race des poissons clown, que beaucoup considéraient comme un ermite pas totalement sain d'esprit.. Cette adoption lui permis de ne pas être confié au quartier des hommes poissons, pas très bien famé à l'époque. L'ermite vivait sur l'ile des hommes poissons lorsqu'il le recueilli, il prenait soin de lui d'une manière exemplaire et le traitait comme son propre fils. Lorsqu'il eut atteint l'âge de 4 ans, Son tuteur l'inscrivit à l'école de karaté des Hommes poissons, fierté de l'ile natale du jeune Orca.

Un échapatoire: Le Gyogyn Karaté[]

Orca excellait dans le domaine, après 7 ans de formation il devint le plus fort de tous les hommes poissons de la catégorie junior, il dominait même ses aînés de plus de 4 ans. Le fait qu'il était de l'ascendance de grand requin blanc y était pour beaucoup, sa force brute était ahurissante, et sa carrure incroyable pour un enfant de 11 ans, il faisait déjà plus de deux mètre quatre vingt, et pesait 200 kilos. Ce fut l'année d'après que sa maitrise des arts martiaux prit un tournant. En effet lorsqu'il eu obtenu le plus haut grade de son école de karaté aquatique, l'ermite qui l'avait recueilli lui apprit qu'il allait déménagé pour se consacrer à sa formation de combat. En effet l'ermite était un ancien maitre dans l'art du Kobudo aquatique d'Okinawa, art perdu qui mêlait la maitrise du karaté aquatique et de la maitrise du bâton de combat, des tonfas. Si l'ermite ne lui avait rien révélé jusque lors, c'est parce que pour le former à cet art aquatique oublié il fallait qu'Orca ait un parfaite maitrise du karaté aquatique puisqu'il correspondait à la base du nouvel enseignement qu'il allait recevoir.

L'apprentissage d'un art ancêstrale oublié[]

Après deux semaines de voyage à travers les océans le maitre et l'élève, le père et le fils, arrivèrent au lieu dit de l'entrainement. C'était une petite ile, avec peu de végétation, mais avec des reliefs très surprenant, il y avait des dénivelés, des collines, des pentes, des fossés de toute part de l'ile. C'était donc en clair, une ile idéal pour entrainer son physique. Après s'être reposé quelque heures, avoir chassé, puis manger son père de coeur fit un feu et déposa deux buches, l'une en face de l'autre pour discuter avec son élève des modalités de l'entrainement. L'ermite lui appris qu'il était à sa connaissance le dernier détenteur de se savoir et qu'en lui apprenant, il permettait aux générations futures d'être détentrice de celui-ci. Un jour Orca devrait à son tour transmettre tout ce qu'il avait appris.. C'était quelque chose d'assez difficile à comprendre pour l'enfant âgé de 12 ans, c'est pourquoi il se contenta d'acquiescer, aux paroles de son maitre. La fin de la discussion pris fin tard dans la nuit, Orca était fatigué, il se hâta donc de s'endormir par ce qu'il savait que la journée de demain ne serait pas pour lui de tout repos, qu'il n'allait pas être ménagé. Il ferma les yeux et parti dans les profondeurs des limbes du sommeil.

Le lendemain matin, lorsque le soleil était encore voilé par le brouillard matinal, l'ermite réveilla Orca pour le confronter à son premier entrainement. Ce fut à ce moment qu'Orca se vu offrir le précieux bâton de son maitre.. Orca ne se rendait pas encore compte de la valeur du bien qu'il venait de recueillir, pour lui ce n'était qu'un simple bout de bois, alors qu'en réalité il s'agissait du bâton avec lequel le premier maitre du Kobudo aquatique d'Okinawa avait élaboré cet art. Le bâton était fait de bois d'Adam, l'arbre trésor, mais ce n'était pas une branche que l'on avait coupé, en réalité il s'agissait d'une pousse d'un nouvel arbre qui avait vu le jour au pied de l'arbre centenaire. Il s'agissait donc d'un jeune tronc du bois légendaire, de ce fait l'arme était aussi dur que l'acier, et même la lame la plus acérée n'en venait pas à bout. Lorsque son maitre lui annonça que son entrainement ne se ferait qu'avec ce bout de bois, Orca encore inconscient de la puissance de cette arme n'était guère enchanté, il aurait préférait se servir des tonfas qu'il trouvait beaucoup plus "classe". Avec insistance son maitre parvint à lui faire changer d'avis et à le pousser à apprendre et ne faire plus qu'un avec l'arme.

Au fil des jours Orca acquis une maitrise irréprochable du bâton et de l'art que son maitre lui enseignait. Le jeune homme apprit la patience ainsi qu'à canaliser la force brute que lui octroyait sa race. Il avait maintenant 20 ans, pesait 490 kilos et mesurait 5 mètres 40, il ne le savait pas du fait qu'il était isolé mais il comptait parmi les plus grands membres de l'espèce des hommes poissons, beaucoup d'entre eux auraient été effrayés par le colosse alors qu'il était leur congénère. La formation qu'il avait reçu pendant ces 8 années prit fin. L'ermite était fier de son élève, des progrès qu'il avait accompli pendant tout ce temps, le jeune homme l'avait dépassé en tout point: force, agilité, dextérité et maitrise des armes. Même si cela ne l'enchantait guère l'ermite lui avait permis de temps à autre de se servir d'autres armes que le bâton: tonfas, nunchaku, lance, et le peu de temps qu'il lui avait accordé suffit a en acquérir une maitrise impressionnante. Cependant le maitre préférait que l'élève utilise le bâton car même en cas d'erreur de maitrise il n'était pas dangereux pour l'utilisateur. La veille de leur départ de l'ile l'ermite appris à son fils adoptif l'histoire du bâton, son importance à ses yeux et de tous prédécesseur, mais Orca n'en pris guère note et répondit à son maitre qu'il utiliserait ses armes en fonction de la situation. Cette réponse ne satisfaisait pas le maitre, qui considérait qu'il n'y avait pas d'arme pour n'importe quelle situation mais une arme qui était le prolongement du corps, uniquement une. Sur cette discussions les deux hommes-possons se couchèrent et se laissèrent porter par le fil de la nuit.

Un retour compromis[]

Orca et son maitre firent leur paquetage et sautèrent à l'eau pour rejoindre leur île. Après cinq jours de chemin il avait parcouru la moitié du chemin, la vitesse de leur voyage était due à la croissance d'Orca qui était devenu un nageur hors pair. Mais le voyage n'était pas de tout repos, c'est pourquoi, lorsqu'ils rencontrèrent une île, les deux hommes y firent donc escale. L'ile était vaste et sur la cote on pouvait voir une ville d'une ampleur considérable, la cité était entourée de remparts, et un bois arborait son flanc droit, derrière elle se trouvait une petite montagne. Orca et son maitre auraient bien visiter cette ville mais leur condition d'homme poisson les empêchait de s'y aventurer.. L'ermite avait souvent expliquer à Orca que tous les humais n'étaient pas mauvais, que même la majorité était de braves personnes, que leur méchanceté provenait de la peur que les hommes poissons leur insufflait. En regardant son portrait dans l'eau Orca comprenait de quoi son maitre parlait, il faisait deux voire trois fois la taille d'un humain ordinaire et au moins 3 bonne têtes de plus que ses congénères. Les deux hommes passèrent la nuit sur la côte pour repartir le lendemain matin quand la fatigue les aurait quitté. Lorsque ce moment fut arrivé ils refirent leur paquetage, éteignirent le feu qu'ils avaient fait la veille pour ne pas souffrir du froid apporté par la nuit; et se dirigèrent vers la côte afin de reprendre la mer. C'est à ce moment qu'Orca aperçu un navire énorme orné des voilures de la marine. En l'observant Orca eut un mauvais pressentiment. Son maitre lui fit signe de se hâter, mais Orca était pétrifié une foule de sentiments et d'angoisses le tétanisait, le jeune homme ne comprenait pas ce qui lui arrivait, ce n'était pourtant pas le premier navire qu'il voyait même si celui là était plus imposant que tous ceux qu'il avait déjà rencontré sur sa route.. L'ermite arracha Orca de sa rêverie en lui mettant un gros coup de canne sur la tête ce qui ne fit aucun mal au mastodonte par ailleurs.. Le navire qui passait non loin d'eux suivait une trajectoire vers la grande ville que les deux hommes poissons avait souhaitaient visiter, mais bizarrement pendant qu'Orca rêvassait le navire s'était rapproché et les hommes qui y étaient dessus étaient visible. Cela impliquait qu'Orca et son maitre était de même visible pour les occupants du navire. L'ermite qui avait compris que c'étaient des humais commença à suer à grosse goutte, le stresse lui était monté au moment ou son regard avait croisé celui d'un drôle d'olibrius richement vêtu. Il compris trop tard que l'homme était un dragon céleste et que son simple regard suffisait à justifier une attaque du navire. C'est ce qui arriva, à peine une minute après, des coups de canon retentirent dans leur direction alors qu'il avait eu à peine le temps de mettre le pied dans l'eau. Il était trop tard pour penser à s'échapper par la mer, le navire bouchait la crique dont l'entrée était à une cinquantaine de mètres. Un de leur chance était éventuellement de passer sous le navire mais le temps qu'ils y arrivent le navire aurait placé des filets... {C Ils choisirent donc une autre alternative dans la hâte des événements: longer la côte pour sortir de la crique pour ne pas être contraint par un bassin clôt et rejoindre la mer, l'ermite entraina donc son élève et ils s'élancèrent dans une course éreintante, les deux amphibiens coururent le plus vite qu'ils pouvaient pour distancer les hommes, mais sur terre il n'était guère plus rapide que des humains ordinaire. Une contrainte venait s'ajouter en leur défaveur, le grand âge de l'ermite qui ne pourrait tenir ce rythme sur terre. Le jeune homme-poisson et son maitre devaient courir assez vite pour ne pas voir les hommes leur couper la route en débarquant vers l'entrée de la crique. La chaleur les accablait, et rendait leur respiration lente et irrégulière, si bien que l'ermite ne plus continuer et s'écroula sur le sol. Orca n'hésita pas une seconde, il prit son maitre sur son dos, et se relança dans la course pour sa vie, pour son maitre, son père de coeur il aurait entreprit de soulever une montagne, c'était tout de même l'homme qui avait sacrifier sa propre vie pour faire de celle d'Orca, une vie heureuse, pour qu'il est une enfance joyeuse comme tous les enfants de n'importe quelle espèce devraient avoir; lorsque ces parents étaient mort d'un accident tragique et qu'aucun membre de la famille des Fortiorem ne s'était manifester pour l'élever. Cet homme avait enfin sacrifier presque 10 ans de sa vie à vivre sur une ile pour faire du jeune Homme-Poisson un érudit des arts martiaux, le dignitaire de l'art oublié qu'est Kobudo aquatique d'Okinawa. {C Orca arriva presque à la fin de ce que l'on pourrait appeler le sentier de la vie, qu'il devait acheminer jusqu'au dernier mètre pour avoir une chance de sauver sa vie ainsi que celle de son bien-aimé maitre. Il n'était plus qu'à une dizaine de mètre de son but, mais alors que le sentiment qu'il pouvait réussir l'envahissait, il se rendit compte qu'il était certes pas loin de la mer mais qu'il était au dessus d'un précipice d'une trentaine de mètres, il ne s'était pas rendu compte qu'en longeant la crique ! Orca chercha donc une solution, sauter aurait été trop dangereux il ne savait pas quelle était la profondeur de la mer au dessous du précipice, avec son poids cumulé avec celui de son maitre il y aurait de forte chance qu'il s'écrase et se broie les os si la profondeur n'était pas en sa faveur.. {C A peine eut-il le temps de réfléchir que des hommes l'encerclaient et ne lui laisser comme chemin celui du dangereux saut. Orca pensa à une autre option se battre il étaient certaines cinq demi douzaine mais il pouvait comptait sur sa maitrise de l'art du combat. Il prit alors ses tonfas après avoir déposé son maitre au sol, et engagea le combat, la puissance d'un de ses coups suffisait à assommer un homme, L'homme poisson utilisait ses tonfas et ces attaques de karaté aquatique si bien qu'il eut mis hors-combat 10 hommes avant qu'ils n'aient eut le temps de se rendre compte de ce qu'il ce passait. LEs hommes sortirent leurs armes, certains étaient en possession de sabre, d'autre d'armes à feu; quoi qu'il en soit Orca les tenait en échec aisément. Mais une autre vague d'hommes arriva, à leur tête se trouvait le dragon céleste porté par quatre hommes. Alors qu'Orca s'occupaient de six hommes armés de fusils qui l'avaient éloigné de l'inanimé ermite. Le dragon céleste se rapprocha du vieil homme poisson arme en main et tira une balle qui passa à quelque centimètre du coeur de l'ermite..

La mort d'un être aimé[]

Lorsque le coup retentit Orca se retourna en direction de celui-ci et aperçu le dragon céleste arme à la main, ainsi que son maitre dont le sang se répandait sur le sol. Une rage guerrière monta en lui. Il saisi son bâton et couru en direction du dragon céleste et son maitre dégageant de son chemin les écervelés pensant pouvoir l'arrêter. Il arriva enfin vers sa cible et lui mis un tel coup de bâton que la victime retomba du ciel à une bonne trentaine de mètres, mais c'était un des sbires du dragon celeste qui s'était jeté devant lui pour le protéger et le dragon celeste avait, de ce fait, eu le temps d'aller se réfugier à l'écart de la bataille. Orca savait qu'il n'avait aucune chance contre tous ces hommes armés d'ustensiles crachant feu et fer. Dans un sursaut d'espoir il empoigna son maitre et le passa par dessus son épaule de sa main libre, il frappa le sol du plat de son bâton. Le coup était d'une violence inouïe, si bien que le bâton s'enfonça et la terre gronda. A peine quelque seconde à maintenir la pression du bâton dans le sol et le bloc de pierre sur lequel il se trouvait, près du précipice se détacha du reste de la falaise. Sur son rocher dégringolant, son maitre en branle sur son épaule, Orca sauta juste avant que la roche rencontre l'eau. Ainsi l'impact fut tellement atténué que la profondeur de la mer au lieu de chute n'était plus qu'une banalité. Les hommes frustrés par la réussite de la folle action d'Orca se lancèrent dans un concerto de tirs pour se venger de l'affront fait à leur maitre lorsqu'Orca avait tenté de le frappé. Leur tentative était veine, Orca était dans son élément, Orca était dans l'eau ou son allure était telle qu'une comète en serait jalouse. Cependant le bonheur fut de courte durée son maitre était dans un état dramatique, il était aux frontières de la mort.

Une rencontre boulversant les destinés[]

Orca nagea de toute ses forces pour rejoindre l'autre rive de l'île ou les hommes du dragon céleste ne seraient pas. Il y arriva très vite poussé par la nécessité de sauver son maitre, il le posa à terre et commença à faire un garrot pour faire stopper le saignement, vaine action puisque le vieil homme était déjà condamné. L'ermite repris conscience ce qui lui permis de prononcer ses dernières paroles: Prendre soin du bâton, transmettre les arts du combat à un élève, comme l'ermite l'avait fait pour lui, et enfin ne pas en vouloir aux humains, l'homme qui l'a tué n'était pas un humain.. mais un démon corrompu par le pouvoir, il demanda à Orca, les armes au yeux, de montrer aux humains que les hommes poissons, sont aussi des créatures pourvues d'honneur et de sentiments. Sur ces paroles le vieil homme poisson s'éteignit. Orca accompliraient les dernières volontés de son maitre , il ne se battrait plus qu'avec le bâton que son maitre lui avait légué et ferait tout pour montrer que les hommes poissons et les humains peuvent s'entendre. Pour la deuxiéme fois de son existence un père était mort sous ses yeux, mais celui là ne l'avait pas été en vain, Orca ferait tout pour que même des profondeurs de la mort son père de coeur entendent parler de ses prouesses.

Après ces tragiques événement Orca parcourut le monde, visitant chaque île, étudiant les humains, leurs moeurs, distinguant les bons des mauvais. Chaque jour Orca pratiquait les enseignements de son maitre et améliorer encore plus son art. Et c'est l'année de ses 24 ans qu'une rencontre changea sa vie. A son habitude il observait les humains, quand un sur lequel son attention se portait plus que sur les autres, se retourna vers lui et plongea son regard dans le sien, Orca était pourtant caché, le corps immergé dans l'eau, seule sa tête de 90 cm de circonférence émergée. L'homme longeant la côte continua de le regarder avec insistance si bien qu'Orca fut impressionné du charisme d'homme pourtant deux fois plus petit que lui. L'homme s'écarta des gens pour aller s'isoler dans une place visible seulement de la mer. Il prit place sur une caisse de bois, croisa les bras et replongea les yeux dans ceux du colosse de jais, après une heure sans qu'aucun des deux ne détourna le regard, l'homme fit signe à l'amphibien de le rejoindre, Orca s'exécuta lorsqu'il arriva en face de l'homme celui ci ne parut même pas effrayé ce qui stupéfia l'homme-orque dont la carrure était indéniable. Ce fut lui qui ouvrit la conversation, il gratifia Orca sur son imposante musculature et se tue. Orca parla à son tour lui disant que c'était la première fois qu'il s'entretenait avec un humain. l'Humain lui dit d'un ton ironique qu'il croyait qu'il était muet, Orca sourit se rendant compte de la simplicité de la conversation rit, son vieux maitre avait raison tous les humains n'étaient pas mauvais, cet homme qu'il connaissait à peine en était la preuve il en était sûr. L'homme se présenta alors, son nom était Naxos Vargo, il se prétendait pirate bien qu'il était seul, vraisemblablement, il n'avait pas d'équipage. Leur conversation continua pendant des heures, les deux hommes se racontèrent leur vie, leurs péripéties, leur but dans la vie. Soudain des gardes le ville déboulèrent dans la rue où les deux hommes se cachaient, ils furent effrayés de la présence du colosse, à tel point qu'ils déclenchèrent l'alarme. Orca leur cria qu'il ne leur ferait pas de mal mais rien ni fut, si bien qu'il décida de s'enfuir, d'autre gardes déboulèrent à ce moment armés de fusils et de canon qu'ils pointaient en sa direction, avec autant de munition même Orca y passerait, mais il n'avait pas le choix, il ne se battrait pas contre d'innocents humains quitte à mourir. Le capitaine allait lancer le signal pour lancer la salve de tirsquand Naxos se jeta devant leurs armes faisant mine de trébucha et laissant le temps à Orca de quitter la place cachée.

Orca se cacha alors dans un bosquet et fut rejoint quelques minutes plus tard par Naxos Vargo. Orca ne savait quoi lui dire, l'homme lui avait sauvé la vie alors qu'il était d'une espèce différente, que tout le monde déteste les hommes poissons ! Orca ne cessa de le remercier pendant une trentaine de minutes ! Naxos Vargo plongea son regard comme il l'avait fait lors de leur rencontre et lui dit: Rejoins mon équipage, ensemble nous montrerons au monde que nous sommes semblables, tu as veux continuer à améliorer l'art de ton maitre, je te donnerais en pâture de nombreux ennemis qui te le permettront. Deviens mon bras droit pour payer ta dette de vie ! Sur ces hommes Orca ne put se refuser à l'offre de Naxos Vargo, il était l'homme qui lui permettrait de changer les mentalités du monde entier même en étant pirate, c'est pourquoi il lui répondit simplement: Bien mon capitaine!

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